Ça existe tu ici ?

Les cie américaines dépenses 60billions/année et cette argent est partiellement gaspilliées.
La cie Creative learning studio de cisco system ,a créer depuis 2001 des logiciels d'apprentissages sous forme de "jeux".
La cyberformation est de plus en plus développée et est moins dispendieuse que les autres méthodes tout en gardant l'intétêt des étudiants.
L'armée Américaine, y a utilisé le jeux Full Spectrum Warrior,avec de bon résultats semble t'il.

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Michel Chossudowsky : "Se mobiliser pour démasquer le mensonge et remettre en question la légitimité politique et économique de ceux dont l'action mène à un appauvrissement généralisé"=>Eh!.....Scandale des Commandites=Commission Gomery???...NON,la Banque Mondiale

Salut,

J'ai eu l'occasion d'étudier la situation du e-learning lors de travaux de recherche que j'ai poursuivis récemment.

Je considère que la situation de l’e-learning au Québec va en s'améliorant. Tranquillement, mais surment !

- Il faut souligner que l’e-learning est encore un concept très général qui n'arbore pas une définition unanime. Il a actuellement de la confusion quant à la définition même du concept de e-learning. Les différents spécialistes de l'éducation de s'entendent pas sur son intégration dans les milieux éducatifs.


Les deux grandes tendances présentes au Québec :

- L'autoformation « pure» est en essor au Québec. Nous n'avons qu'a observer le développement des infrastructures de Cégep@distance et les investissements massifs qu'a faits l'UQAM dans la TELUQ. (Télé-Université) Cela reflète certainement l'importance que le e-learning a aux yeux des administrateurs scolaires...

(La forme d’e-learning la plus prometteuse selon moi)
- Le « blended learning » (apprentissages qui combine la présence en classe + un portail interactif) s'implante très bien... La quasi-totalité des universités canadiennes (incluant celles du Québec) utilisent et développent des portails d’e-learning comme complément aux cours traditionnels. Le problème n'est pas l'organisation informatique de l’e-learning, c'est les « réticences » de beaucoup d'enseignants à le combiner avec les contenus.


Et je ne crois pas que l’e-learning favorise nécessairement l'intérêt des étudiants. Les cours à distance ont toujours des taux d'abandon plus élevés que les cours qui sont offerts lors de l'enseignement régulier. Beaucoup d'étudiants ne sont pas familiers avec l'informatique et sont rapidement démoralisés par la « froideur » de l'environnement virtuelle.


Le e-learning promet certainement de mondialiser l'éducation...

Pour ça il faudrait commencer pas avoir un approvisionnement fiable en électricité à l'échelle mondial... Après ça les ordis, Internet et finalement les ressources monétaires pour s'inscrire à ces cours.
Ce n'est donc pas pour bientôt.

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Ca promet beaucoup!

Oui, il est évident que les régions qui souffrent de pauvreté accablante ne bénéficieront pas directement des systèmes perfectionnés d’e-learning. Cependant, le e-learning permet à une certaine minorité de ces pays pauvres (qui eux ont accès aux ressources les plus élémentaires) d'acquérir des connaissances spécifiques et de les "redistribuer " via les structures scolaires nationales. Je crois que le transfert des savoirs (favorisé par la mondialisation) et des politiques de développement durable vont améliorer le sort de beaucoup de pays pauvres (dépourvus des ressources les plus élémentaires)

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Quand on vous demande si vous êtes capable de faire un travail répondez : “bien sûr, je peux !” Puis débrouillez-vous.